Halbot
Créations

Nos salles de bains sont simplement conçues pour être en harmonie avec tous ces plaisirs et participer à votre bien-être.

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Fort de plus de 25 ans d’expérience,

Halbot Créations vous accompagne à chaque étape de la réalisation de votre salle de bains :
  • La prise des mesures et découverte de votre projet, à votre domicile par un agenceur spécialisé dans la conception et l’installation de la salle de bains.
  • Réalisation et présentation de l’étude de votre projet chiffrée et accompagnée de plans et perspective 3D de votre salle de bains.
  • Accompagnement dans le choix de votre style de salle de bains lors d’un rendez-vous dédié.
  • Suivi et installation de votre salle de bains par nos équipes de pose : plombier, électricien, plaquiste, carreleur, peintre ou menuisier… accompagnés par un conducteur de travaux. Nous maitrisons complétement les différents métiers que demande votre projet dont la pose est garantie 10 ans.

  • Contrôle et suivi de la fin de chantier par le retour du concepteur de votre salle de bains.
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Hisoire de la salle de bain

de 1910 à 2000

Entre les années 1910 - 1930

Au début du XXe siècle, la salle de bains au sens moderne du terme n’existe pas encore.

La tradition du bain chez soi, plutôt que dans des établissements de bains publics, tarde à s’imposer.

A ses débuts, la salle de bains en tant que telle n’est pas perçue comme un luxe, mais comme une installation sanitaire bienfaisante pour la santé.

Les structures sanitaires sont, en grande majorité, installées dans la cuisine ou dans la buanderie à la cave.

Les toilettes, lorsqu’elles ne sont pas dans la cour, sont à l’intérieur ; il n’y a qu’un cabinet par étage. On prend son bain dans une baignoire, un bac ou un baquet.

Les installations sanitaires situées dans la cave sont fonctionnelles et dénuées de tout confort.

Principal avantage par rapport à la cuisine : l’eau peut être chauffée directement avec des bûches de bois dans le baquet et la cuisine reste à l’abri de la vapeur d’eau et du débordement de l’eau du bain.

Le four n’est pas encore relié à la baignoire : le chauffe-eau au gaz instantané est inventé en 1920. Comme la buanderie est utilisée par plusieurs résidents, par exemple pour le lavage et le séchage du linge, la baignoire métallique (la douche n’existe pas encore) n’est que l’un des nombreux objets que l’on doit monter ou démonter selon les besoins.

Un évier ouvert au centre de la pièce permet l’évacuation de l’eau. La plupart du temps, une ampoule nue donne de la lumière.

Avant, il n’y avait que la douche de tête. En 1928, Hans invente une douchette à main avec poignée en porcelaine, qui évite à notre arrière-arrière-grand-mère de se brûler les doigts. Se doucher n’a alors jamais été aussi agréable.

Les petits appartements en ville sont bientôt équipés de minuscules salles de bains. Vers 1910, la salle de bains de ville donne naissance à une solution intermédiaire : la douche ou la baignoire est installée dans une niche de la cuisine ou la chambre à coucher. Une cloison ou un rideau de douche sépare l’espace bain du reste de la pièce.

En 1928, Hans Grohe lance la douchette à main avec poignée en porcelaine qui, peu de temps après, vient compléter la douche de tête dans toutes les meilleures salles de bains. Jusque dans les années 1930, avoir un cabinet de toilettes à l’étage et de l’eau froide courante reste un luxe.

Entre les années 1940 - 1960

L’équipement des nouvelles salles de bains construites (toujours dans un petite cave sombre) devient plus clair et chaleureux. La baignoire métallique est remplacée par la baignoire émaillée en fonte. Les murs sont colorés et le sol est recouvert de linoléum. Avec la généralisation de l’utilisation des chauffe-bains, la tradition de la douche prend de plus en plus d’importance.

Pourtant, la salle de bains est encore perçue comme une pièce fonctionnelle servant, entre autres, au séchage du linge, comme le montre le séchoir-parapluie directement positionné sur la baignoire.

 

Ce n’est que dans la deuxième moitié du XXe siècle que les salles de bains se sont généralisées dans les appartements de ville. Lors de la reconstruction après la seconde guerre mondiale, on construit surtout des salles de bains minuscules, également appelées bloc sanitaires.

Tous les équipements de la salle de bains (lavabo, baignoire et toilettes) doivent être installés dans une petite pièce séparée. Cependant jusque dans les années 1950, il n’est pas courant d’avoir sa propre salle de bains. Beaucoup se contentent encore d’un baquet dans la cuisine, car la salle de bains privée suppose une pièce séparée, un chauffe-eau et une baignoire. Mais, les logements exigus ne peuvent pas accueillir tous ces équipements.

Les mains libres ! A partir de 1953, le monde entier se réjouit de découvrir la barre de douche Unica. Celle-ci permet à nos ancêtres de régler facilement la hauteur de leur douche. Quel luxe !

Grâce à la construction de nombreux bâtiments neufs, de plus en plus de foyers possèdent une salle de bains en ces termes : finition laqué blanche, émaillé, porcelaine, métal, murs et sols carrelés, revêtements en pierre artificielle, porte-savon. La ménagère des années 1950 considérait que les toilettes étaient à l’image de l’appartement ou de la maison.

Les salles de douche sont encore rares et perçues comme un endroit où les gens pauvres prennent leur douche. « Enfin les mains libres » : c’est avec ce slogan que Hans Grohe lance la barre de douche UNICA en 1953. A cette époque, elle est encore vendue au détail.

Entre les années 1960 - 1970

« Point très important : les deux mains sont libre ! » Dans les années 1960, la garniture de douche UNICA est présente dans presque toutes les salles de bains. Avec ses innombrables possibilités d’utilisation, elle garantit « encore plus de plaisir ».

UNICA correspond à la société de l’époque qui est en pleine mutation : le passage au bien-être de masse et le besoin des jeunes de se détacher des milieux sociaux traditionnels créent un nouveau comportement en matière de consommation et de loisirs. La liberté personnelle, la participation à la sociale et les plaisir de la vie sont au centre de l’intérêt.

Ce phénomène s’observe également dans les salles de bains. Dans l’idéal, elles sont à la fois « cosy » et fonctionnelles tout en étant colories, bon marché et presque indestructibles.

En 1958/59 les journaux de l’époque, donnent un petit aperçu des couleurs appréciées dans les logements : les couleurs à mode pour les murs et les sols sont noir, le blanc, le bleu et le rose ; la salle de bains noires est considérée comme ultra tendance. On recommande aux amateurs de bains chaud et alterné d’opter pour les teintes rose et bleu. Pour tous ceux qui aiment rester longtemps nus dans leur salle de bains,on conseille de combiner les coloris bleu-vert et jaune. La couleur « blanche hygiénique » est encore présente dans toutes les salle de bains.

Au milieu des années 60, la salle de bains commence à se transformer lentement en salle de bains à vivre, en un espace de douceur sans coins ni bords : les salles de bains mélangeant les matériaux à la base de pierre, bois verre, moquette, acrylique, résine synthétique renforcée de fibres de verre et plastique, vanté pour être le nouveau matériaux miracle, remplace progréssivement les salles de bains entièrement carrélées et dotées d’éléments en fer, acier, émail et céramqiue. De nouvelles formes et couleurs sont possibles. Les premiers articles de luxe pour la salle de bains sont conçus.

La pièce dédiée à la toilette devient un espace personnel, propice au recueillement et la méditation. Désormais, les gens passent plus de temps dans la salle de bains.

Ce changement se voit aussi dans la gamme de produits de fournisseurs qui proposent de nouvelles tablettes de lavabo et des gammes de meubles de rangement. Le plastique, nouveau matériau, fait son entrée dans toutes les salles de bains.

En 1968, en plein boom de la construction, un bestseller mondial élégant rend la douche tendance : Selecta devient alors synonyme de « douchette à main » et se vend même plus que la Coccinelle de VW.

Avec l’évolution de l’utilisation de la salle de bains et l’apparition du plastique, le design de la salle de bains est sur le point d’éclore. Pour la première fois, des produits au fonctionnement optimisé tels que le chauffe-eau à gaz, le mitigeur mono commande ou le thermostat, mais aussi des produits plus simples comme le bidet, l’armoire à glace, la cloison de douche et la tablette de lavabo sont intégrés. On porte également de la couleur aux éléments fonctionnels. Les couleurs appréciées sont l’orange, le marron, le jaune et le vert.

Néanmoins, plus de 30% des logements ne possèdent toujours pas de salle de bains.

Entre les années 1970 – 1980

Les années 70 : l’époque du renouveau et du développement social et personnel. Le niveau de vie général et la mobilité ne cessent d’augmenter, d’où la demande croissante de confort et de luxe.

L’organisation des loisirs prend de plus en plus d’importance, ce qui se répercute également sur les habitudes et rythmes de vie. Globalement, les gens mènent une vie plus libre, plus audacieuse, plus variée et d’avantage axée sur la consommation. L’utilisation du plastique commence à se répandre largement. Même dans la salle de séjour, les surfaces en plastique deviennent à la mode.

Dans le cadre de cette évolution, les salles de bains se parent aussi de couleurs plus voyantes. A cette époque, on aime utiliser des teintes vives et soutenues, surtout pour le carrelage et les produits sanitaires en céramique.

En outre, la technologie est de plus en plus présente dans ces espaces de vie. La douchettes à main SELECTA et TRIBEL rendent la douche à la fois plus agréable et plus astucieuse.

On reste de plus en plus longtemps aux toilettes, notamment grâce au tapis qui les recouvre et se transforme en siège confortable. Les tapis moelleux et les plantes vertes créent également une ambiance agréable.

On ne peut pas encore dire que la salle de bains est un oasis de bien-être mais, à cette époque déjà, on ne la définit plus comme un simple cabinet de toilette robuste.

Enfin, l’armoire à glace moderne qui offre un vaste espace de rangement et apporte plus de lumière vient compléter la salle de bains des années 70.

Avec les SIXTY (1970), Hansgrohe lance sur le marché le premier produit sanitaire conçu en collaboration avec un designer industriel.

C’est aussi le premier produit vendu en set complet (avec douchette, flexible et support). SIXTY est également la première douchette disponible en couleur : orange, noir, blanc, vert pomme, marron, rose et violet.

A partir de 1970, des articles colorés font leur entrée dans les salles de bains. TRIBEL plonge nos familles dans de nouvelles expériences sous la douche : avec une tête rotative et trois type de jet.

Quatre ans plus tard seulement, TRIBEL, la première douchette à main au monde dotée de plusieurs types de jet, conquiert la salle de bains.

Outre les trois différents jets que l’utilisateur peut lui-même redefinir à chaque usage, elle posède un pommeau en plastique colorés au choix.

La douchette TRIBEL est le premier produit Hansgrohé à avoir remporté un prix du design.

 

Entre les années 1980 – 1990

La conception des salles de bains se personnalise. Pour aménager une salle de bains, on a le choix entre une diversité de designs, de couleurs et d’équipements. De plus en plus de fabricants d’équipements sanitaires proposent des installations complètes et font appel à des designers pour développer de nouvelles séries de salle de bains : la conception globale des produits progresse. Ainsi, en 1981, lors du salon professionnel international ISH de Francfort, Hansgrohé présente ses familles de douches latérales coordonnées entre elles et marque l’histoire de la photographie avec sa compagne publicitaire qui montre pour la première fois un homme nu.

Presque tous les logements sont équipés d’une salle de bains d’une superficie de 5 à 8m², ce qui complique l’agencement personnalisé de la salle de bains. La plupart du temps, les murs des salles de bains sont ornés de carreaux et de papier décorés sommairement ou sont recouvert d’une couche de peinture à l’huile étanche donnant un aspect « peau d’éléphant ». Le sol est carrelé ou recouvert d’un revêtement synthétique. La salle de bains est typiquement dédiée à des occupations annexes : on y pratique des massages, on lit, on fume on fait du sport, on plie et repasse son linge ou on cire ses chaussures. La salle de bains est la troisième pièce préférée, derrière le salon et la cuisine. En cas d’aménagement particulier de la salle de bains, il est généralement nécessaire de la montrer aux visiteurs de l’appartement ou de la maison.

A début des années 1980, Hansgrohe lance la série de mitigeurs ALLEGROHE. Elle se distingue par sa poignée étrier conçue pour faciliter sa préhension avec les mains mouillées. Dans le but d’apporter encore plus de confort à ses clients et de réduire la consommation d’eau de ses douches et douchettes. Hansgrohe met en place en 1983 un laboratoire dédié aujourd’hui encore à l’étude des jets. Hansgrohe répond ainsi à une thématique centrale émergente : la protection de l’environnement. La douchette à main MISTRAL ECO arrive sur le marché en 1987 et réduit la consommation d’eau de 50%.

Une batterie de mélange esthétique avec bec rotatif qui facilite le lavage des cheveux au-dessus du lavabo : à partir de 1981, le mitigeur ALLEGROH est l’incarnation moderne du robinet.

Réaliser des économies ? Toutes les familles adorent ! A partir de 1987, la douchette à main MISTRAL ECO réduit la consommation d’eau jusqu’à 50% et fait de Hansgrohe un pionnier de l’écologie dans son domaine.

Cette salle de bains en photo, est particulièrement marquée par l’industrie des loisirs en développement permanent : à côté du DUSCHTEMPEL, gage de bien-être, on trouve un vélo d’appartement. L’entrainement même chez soi ! La salle de bains s’inscrit parfaitement dans la tendance actuelle du fitness et est le lieu où l’on prend soin de son corps en faisant du sport et sa toilette. Le DUSCHTEMPEL a connu, ne serait-ce que pendant une courte période, un énorme succès commercial. A l’origine, il ne devait servir que d’article d’exposition pour présenter les caractéristiques de la douche au plus grand nombre possible de visiteurs en même temps. A la fin du salon, suite aux centaines de commandes enregistrées, Hansgrohe commençait la fabrication du DUSCHTEMPEL. Peu de temps après, le DUSCHTEMPEL PHARO arrivait sur le marché. Si le DUSCHTEMPEL n’était pas encore entré triomphalement dans les salles de bains, c’était probablement à cause des dimensions réduites de la plupart d’entre elles. Ce qui frappe dans cette salle de bains, ce sont les notes de couleurs soutenues et le design typique de la série de mitigeurs UNI au succès international sortie en 1985.

Entre les années 1990 – 2000

Bienvenue au Salon d’eau !

Philippe Stark

Cette réinterprétation de la salle de bains par le célèbre designer français Philippe Stark date de 1994. Il l’a conçue pour AXOR, la marque design de Hansgrohe SE.

Philippe Stark abandonne les carreaux habituels et travaille avec beaucoup de lumière naturelle, des matériaux chaleureux et des formes claires. La couleur blanche revient de plus en plus dans la salle de bains. La sobriété et la clarté des couleurs donnent un ensemble très moderne. Des formes simples comme le corps rond mettent en évidence la fonctionnalité des produits. Rien ne détourne l’attention.

Stark répond ainsi au besoin de la société qui souhaite retrouver plus de naturel et de simplicité dans un monde plus complexe et qui se tourne à nouveau davantage vers la nature. Le designer s’adapte aux formes originelles de l’utilisation de l’eau. La forme oblique du bec du robinet rappelle donc les anciennes pompes à eau qui servaient de robinet bien avant l’apparition de la salle de bains privée. La forme de la baignoire évoque celle d’un baquet. Pour le Salon d’eau, Stark a redéfini la salle de bains comme étant un « lieu que l’on aime, où l’on se repose et où l’on parle avec l’amour de sa vie ».

Au début des années 1990, dans son étude sur les consommateurs et leur salle de bains, on constate que la salle de bains type du consommateur moyen est dotée au moins d’une baignoire, d’un lavabo, d’un radiateur de chauffage central et de toilette servant d’équipement sanitaire de base.

C’est aussi à cette époque que Hansgrohe lance le premier DUSCHPANEEL au monde (également appelé colonne de douche). Le DUSCHPANEEL est une douche bien-être disposant d’une douche de tête, d’une douchette à main e de douches latérales ainsi que de jets de massage pour tous ceux qui ne veulent pas se contenter d’une simple douche, mais qui n’ont pas les moyens de s’offrir un système de douche multifonction.

Le DUSCHPANEEL est l’un des premiers produits électroniques pour la salle de bains.

Dans le même temps, les fabricants d’équipement sanitaires doivent s’adapter aux préoccupations environnementales croissantes de leur clientèle : les économies d’eau et d’énergie s’imposent comme une thématique incontournable de la technologie de l’eau.

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